mardi 29 avril 2014

Appréciation cinéma étranger

Le Cinéma Étranger

Par Jacob Pouliot

Pour conclure avec le cinéma étranger, je tiens à souligner que les films qu’on a visionné, soit La Cité de Dieu, Le Pouilleux Millionnaire et Intouchables sont des films qui surpassent la majorité des blockbusters américains. Pourquoi donc ? Ces productions ont un budget beaucoup moins élevé, un registre d’acteurs beaucoup moins vaste etc. Mais les réalisateurs réussissent, même avec des ressources limitées, à faire des bijoux cinématographiques et c’est ce que j’aime des films étrangers. La vision des choses est si différente. Les producteurs viennent chercher les spectateurs non avec des explosions et des effets CGI ridicules, mais bien avec des histoires touchantes, crues et réalistes qui permet aux cinéphiles de rentrer profondément dans la vie des personnages. On ne voit plus de ces choses dans le cinéma américain d’aujourd’hui, et bien, dans les gros films américains d’aujourd’hui.  J’ai certainement appris sur plusieurs réalisateurs étrangers, peu connus, mais qui font du superbe travail. Je me dis maintenant que le budget et l’expérience à Hollywood d’un réalisateur ne veut rien dire.

Ce que j’ai le plus retenus de cette expérience, c’est de voir la vision du cinéma complètement différente des autres pays et ça m’a grandement plu. Grâce à ces visionnements, je vais certainement faire des recherches et trouver d’autres grands films étrangers à écouter, car en ce moment je ne suis pas pleinement satisfait de ce qu’Hollywood m’offre pour combler mes temps libres et j'invite tous les cinéphiles qui partagent mon point de vue à faire de même!

lundi 28 avril 2014

Critique Intouchables

Intouchables

Par Jacob Pouliot

Vous savez ce que donne un assisté social fraîchement sorti de six mois de prison comme auxiliaire de vie à un riche tétraplégique ? Je n’en avais aucune idée avant de regarder le film français à succès : Intouchables. Réalisé par Olivier Nakache et Éric Toledano et sorti en 2011, Intouchables raconte l’histoire de Driss (Omar Sy) et Philippe (François Cluzet), deux hommes complètement différents. En effet, outre le fait que l’un est noir et l’autre blanc, l’un est pauvre et l’autre est plein a craqué (je vous laisse deviner qui est qui). Driss, fraichement sorti de taule, va à un entretien d’embauche pour devenir l’auxiliaire de vie de Philippe, mais il veut seulement la signature qui dit qui s’est présenté pour un emploi pour obtenir ses Assedic. C’est alors que, par surprise totale, il apprend que sa candidature est retenu et c’est ensuite que suivra toutes les folles aventures qui leurs arrivent.

Je n’ai jamais vraiment aimé les films français. Pourquoi ? Les blagues propres à leur culture, leur ton de voix parfois vraiment énervant, le snobisme que les acteurs parisiens adoptent souvent etc. Les deux seuls films français qui m’ont vraiment fait mouiller mon pantalon de rire sont Le Dîner de Cons et Double Zéro. Mais depuis que j’ai vu ce film, un troisième s’est ajouté à la liste. Et oui, Intouchables est une excellente production cinématographique que je réécouterais n’importe quand. Les films qui sont extrêmement marrants, mais qu’en même temps offre une histoire touchante et vraie sont toujours gagnants bien sur. 

Quoi dire des acteurs … Omar Sy en est un que je n’ai jamais vu, bien sur parce que je ne suis pas un grand fan de cinéma français, mais je suis content de l’avoir découvert dans ce film parce qu’il est excellent ! À la fois super drôle et aussi très sérieux, il nous fait passer par une grande gamme d’émotions. Il y a aussi M. François Cluzet qui se démarque énormément dans ce film. Il incarne à merveille son personnage de riche tétraplégique, un rôle qui doit être assez difficile à faire. Bref, si je vois un film français avec l’un de ces acteurs, je vais certainement être tenté à aller le voir après visionner ce merveilleux film qu’est Intouchables.

Ce film est le deuxième plus gros film du box-office français, et je n’en suis aucunement surpris. Ce qui me surprend dans tout ça, c’est que Bienvenue chez les Ch’tis est le premier … Intouchables est nettement supérieur et je crois entièrement qu’il mérite la place du premier rang.

Pour conclure, cette production française est la meilleure que j’ai vue depuis un bon bout de temps ! J’invite tout le monde qui ne l’ont pas déjà vu de le faire, car Intouchables est pour moi un chef-d’œuvre !

Critique Pouilleux millionnaire

Le Pouilleux Millionnaire

Par Jacob Pouliot

Les bidonvilles indiens, quoi de plus insalubre et pauvre, et bien c’est de ce milieu que sortent les frères Jamal Malik (Dev Patel) et Salim Malik (Madhur Mital), personnages principaux du film Le Pouilleux Millionnaire, drame britannique sorti en 2008 et réalisé par Danny Boyle. Malgré leur enfance extrêmement difficile accompagnée du meurtre de leur mère par des antimusulmans, l’un d’eux, Jamal, réussi à devenir millionnaire en jouant à une version indienne du jeu télévisé « Who Wants to be a Millionnaire ». Ses connaissances générales qu’il a acquiert au cours de sa vie de mendiant lui fait répondre correctement une réponse à la fois, et le déroulement du film tourne toujours autour de pourquoi il sait la réponse à cette question, car le présentateur de l’émission pense que le jeune serveur de thé issu d’un bidonville triche à cause que les professeurs et les universitaires ne se rende même pas a 16 000 roupies, tout cela accompagné d’une histoire d’amour que je qualifierais comme « cheesy », c'est-à-dire plutôt quétaine, entre Jamal et sa compagne d’orphelinat, Latika (Freida Pinto), qu’il essaye de retrouver tout au long de sa vie. C’est pourquoi ce film ne m’a pas vraiment allumé … Aussi parce que c’est une production britannique au caractère de Bollywood et non une production originale de Bollywood et je trouve que ça enlève tout le charme des productions bollywoodienne, qui sont vraiment différentes de ce film britannique. Malgré cela, les acteurs d’origine indienne et les décors hyper représentatifs du milieu indien donnent beaucoup de crédibilité à ce film et je crois que c’est pourquoi il a gagné de nombreux prix. Je dois admettre aussi que le jeu des acteurs était superbe ! Des acteurs peu connus mais bien impressionnants. Bien sur on a visionner une version traduite, mais c’est un autre point qui fait que ce film est un bon film, malgré l’histoire qui est, pour moi, assez moche. Les spectateurs sont interpellés au début du film avec une question qui nous fait réfléchir au début et surtout à la fin du visionnement, lorsque l’action est terminée et que la question nous est reposée : « Comment Jamal Malik a-t-il atteint la question a 20 millions de roupies ? (A) Il a triché. (B) Il est chanceux. (C) C’est un génie. (D) C’était écrit. ». Il faut l’écouter pour le savoir …

vendredi 25 avril 2014

Critique Cité de Dieu

La Cité de Dieu : 
Un Bijou Cinématographique

Par Jacob Pouliot

Pour commencer, la Cité de Dieu est un drame criminel brésilien réalisé par Fernando Meirelles, sorti en 2002, qui raconte l’histoire d’une favela brésilienne justement appelée : La Cité de Dieu. Cette favela comprend au début trois personnes qui, ensemble, forment le trio Tendresse. Ces trois jeunes gangsters en quête de biens et d’argent pour survivre à la vie de favela sont, Tignasse et deux autres nobody. Ils se font tuer, parce que dans la favela, tu es sur de crevé.

L’histoire se rend ensuite 10 ans après lorsque fusée (Alexandre Rodrigues), le narrateur et personnage principal est plus vieux et qu’il veut poursuivre son rêve d’être photographe. C’est alors qu’il se rend compte qu’il doit passer par le gangstérisme pour réaliser son rêve.

La Cité de Dieu est certainement un chef-d’œuvre du cinéma étranger. La manière crue de raconter l’histoire est bien différente des films hollywoodiens, mais en même temps bien meilleure. Beaucoup de personnes croient que les acteurs d’Hollywood sont de première classe, mais après avoir écouté ce film, on se rend compte que le jeu de ces acteurs brésiliens est au même niveau et même surpasse celui de plusieurs acteurs reconnus d’Hollywood. Leur attitude et leur réaction sont si représentatives de la favela qu’on dirait qu’ils ont vécu toute leur vie dans ce milieu.

L’ambiance parfois terrifiante du film est bien appuyée par les décors hyper réalistes de la favela brésilienne. Je n’ai jamais vraiment été touché par une scène d’un film, mais certaines scènes de celui-ci étaient si crues que je n’ai pas eu le choix de me sentir mal et c’est une raison pourquoi j’adore ce film et que je vais m’en souvenir pour très longtemps.
Je suis surpris qu’un réalisateur avec peu d’expérience comme Fernando Meirelles ait réussi à créer un si bon film. Cela prouve que ce n’est pas l’expérience qui fait d’un réalisateur un bon réalisateur.

J’essais de trouver des défauts à cette réalisation, mais en vain. La seule chose que j’aurais aimé, c’est une traduction anglaise, mais cela aurait enlevé beaucoup de crédibilité au film, vu que la version originale est en portugais.
Bref, La Cité de Dieu est un film que je recommande à tous les amateurs de cinéma qui n’ont pas le cœur sensible. L’ambiance, l’absence de musique fatigante, le jeu impeccable des acteurs et l’histoire crue et réaliste font de ce film un bijou du cinéma étranger qui devrait certainement être bien plus reconnu. 

#11 musique


#11 musique

L’opinons de La voix est différente à chacun. Plusieurs ont été très déçus que ce soit Yoan qui remporte La voix. Tant dis que d’autre on été très heureux, les opinons sont très variées et Les goûts ne se discutent pas. Dans mon entourage, Yoan a été très détesté, personnellement j’aurai prit n’importe quels candidats autre que Yoan. Selon le Journal de Montréal, Yoan Garneau a été chouchou tout au long de l’aventure. Selon moi la victoire aurait du se départir encore Renée Wilkin et Valérie Lahaie. Je n’apprécie pas beaucoup la voix de Yoan Garneau, mais il le méritait autant que les trois et  je l’encourage tout de même à bien performer en tant qu’artiste québequois.

mardi 22 avril 2014

Critique des films étrangers

Critique des films étrangers

Par Anthony Gosselin-Turcotte



Après avoir écouté trois films du cinéma étranger, je peux donner mon opinion sur le cinéma étranger comparé aux cinémas américains. J’ai bien aimé le cinéma étranger, car ça fait changement des histoires de vie parfaites produites par les américains, où tous les films finissent toujours ou presque de la même manière. Avec la censure moins présente dans les films étrangers, ça nous fait vivre beaucoup plus d’émotions comparé aux films américains. Il est très dur de prédire la fin dans les films étrangers. Dans les films américains, le personnage principal réussit toujours à se sortir d’une situation où il est presque impossible de s’en sortir ou d’un accident de voiture qui aurait été, dans la vraie vie, mortelle. L'acteur le fait en plus de manière spectaculaire. Je ne dis pas que les films étrangers montrent la vie réelle, mais quand on s’assoit pour écouter un film étranger, on ne peut pas prédire la fin au début du film, alors qu’avec les films américains, dès le début (environ une heure et moins) , on peut prédire la fin. Cependant, le manque de budget dans les films étrangers, comme dans le film La Cité de Dieu, le manque de budget est voyant, car les décors, les accessoires et les effets spéciaux sont beaucoup moins élaborés et spectaculaires. Mon film préféré dans les films étrangers que j’ai écoutés entre La Cité de Dieu, Le Pouilleux millionnaire et Les Intouchables, est sans doute Les Intouchables. Je sais que c’est le film qui se rapproche le plus du cinéma américain et qui avait le plus gros budget, mais mon opinion ne va pas changer. Je n’ai pas trouvé les deux autres mauvais, mais dans La Cité de Dieu, il y avait trop de violence pour rien, mais c’était cela qui faisait le film et qui présentait le caractère des personnages. Aussi, dans Le Pouilleux Millionnaire, on pouvait facilement prédire la fin, car on savait toujours qu’il allait répondre la bonne réponse aux questions et qu’à la fin du film, il allait réussir à retrouver Latika. Aussi, je crois savoir pourquoi j’aime mieux ce film, car depuis toujours, je suis en contact avec le cinéma américain. De plus, je crois que les films étrangers devraient être beaucoup plus présentés partout dans le monde, car ces films devraient être regardés, parfois plus que les films américains.






la critique de cinéma étranger de marc-andré



Critique du cinéma étranger :



Durant tout le mois de mars et le mois d’avril, nous avons visionné trois films étrangers. Le premier, la cité de dieux, ensuite nous avons vue le pouilleux millionnaire et finalement nous avons vue le film français les intouchable. Les trois films étaient loin des traditionnels films américains qui montrent toujours le même héros qui doit sauver le monde des griffes du mal. Dans les trois films étrangers, nous avons vue une tout autre vision des choses. Dans la cité de dieux, nous avions vue un jeune garçon qui tente juste de survivre dans sa favela et qui nous raconte l’histoire de tout le monde dans la favela. Nous sommes très loin du héros qui doit sauver tout le monde et se retrouve dans les bras d’une belle fille à la fin du film. La cité de dieux, racontait l’histoire de fusée, un jeune garçon qui aspire à devenir un photographe et qui est entrainer malgré lieux à travailler pour le gang de petit Zée comme photographe. J’ai bien aimé ce film car il une histoire complète sur tous les personnages du film.  Malheureusement, se soucie du détaille, devenait parfois exagéré.    

Le pouilleux millionnaires, nous montrait le point de vue d’un jeune orphelin qui tente encore de survivre avec son frère à toutes les péripéties que lui imposait la vie. J’ai bien aimé ce film, car il était très bien structurer et l’on pouvait voir que les acteurs étaient dans leur personnage à cent pour cent. Le dernier film qui selon moi est le meilleur, est les intouchables, car ce film était comique en même temps de montrer une histoire vraie. Donc sa nous donnait un film léger qui nous montrait une valeur que peut de personne possède. La capacité à faire évoluer son jugement. Dans les trois films, j’ai préféré les intouchables, mais j’ai heu beaucoup de difficulté  à départager car les trois films était très bon et sa nous prouve qu’il y a des bijoux cinématographique dans les autres pays aussi.   
Cinema étrangé Finalement à la fin du visionnement des films étrangers, j’ai apprécié les trois genre, mais plus particulièrement le film français (les Intouchables) qui se rapprochais plus de la culture québequoise. Selon moi, les films américains sont irréalistes la plus part du temps, trop défets spéciaux mauvais et beaucoup trop de violence inutile. Les cinématographie américaine sont très artificiel, les gens doivent être beau ou belle, avoir de belle dents et un physique représentatif du film. Les filles sont souvent utilisées comme stéréotypes et avec beaucoup de nudité. Par contre, certain film coup de cœur sont souvent les films américains, il nous amène à vivre dans leur monde irréaliste de la perfection. Je déteste plus que toutes les traductions françaises d’un film en anglais, les meilleurs films sont ceux avec leur vraie voix. Les films français sont plus proche des québéquois, il apporte plus de réalité. Les intouchables est un film très drôle et surtout très réaliste, aucun effets spéciaux mauvais était dans le film mais beaucoup d’humour. Les différences sont très visibles entre les films américains et français. Plusieurs apprécierons les films américains, mais personnelement un film réaliste tiré d’une histoire vrai ou d’un documentaire rien ne bâtera ça. Gabrielle Morissette

#10 Les voyages

Ah les voyages! toujours aussi amusant découvrir de nouveaux endroits. L'été commence bientôt, pourquoi ne pas aller en camping, certains disent que faire du camping ce n'est pas voyager, mais détrompez-vous. Si vous décider d'aller faire du camping au New Jersey, c'est faire un voyage, vous aurez la chance de découvrir tout pleins de nouveaux endroits en route que vous pourrez arrêter. Faire un voyage n'est pas nécessairement partir en avion ou payer 20 000$, l'on peut voyager aussi avec un sac a dos et a pied. Il y en a pour d'autre que voyager signifie relaxer sur le bord de la plage avec un cocktail à la main à se faire bronzé. Je vous laisse sur quelque images qui vous ferons rêver.

voyager c'est la seul chose que nous pouvons acheter et qui nous rend plus riche.



Santorini, Grèce







Toscane, Italie



Bangkok, Thaïlande


StoneHenge, Angleterre


Masai Mara, Kenya



Louxor, Égypte


Résumé des critiques Pascale marquis



Résumé des critiques


Les films étranger sont complètement différents des films Américains et des films québécois que nous avons l’habitude d’écouter. Les décors, le jeu des acteurs, la technique de filmage et tout les petits détails sont différent ce qui fait en sorte que nous sortons de notre zone de confort en écoutant des films différent. Malgré la différence, ces films nous en apprennent beaucoup sur le cinéma étranger ainsi que la culture d’autres pays. Les trois films que nous avons écouté étaient complètement différent ; La cité de dieu, le pouilleux millionnaire et les Intouchables. Nous avons assisté à trois types de film différent, mais ils avaient tous quelques choses en commun et c’était qu’ils étaient du cinéma étranger. J’ai aimé découvrir de différent genre de film, car cela m’a fait découvrir autres chose que les films dont je suis habitué d’écouter. C’était toutes de très bonnes histoires et chacun des films que nous avons écoutés valaient la peine d’être écouter. Je trouve que le cinéma étranger est plus réel que le cinéma  Américain, il y’ a moins de grosses mises en scènes et d’effets spéciaux exagéré. Le cinéma Américain à l’habitude d’essayer d’en mettre beaucoup trop dans les films, mais le cinéma étranger lui n’essaye pas de trop en mettre, il est simple, mais cela est tout de même très intéressant. J’ai bien aimé le côté plus réel du cinéma étranger et cela m’a donné le goût d’écouter d’autres films venant du cinéma étranger, car j’ai beaucoup apprécié l’œuvre de ces trois films.  Je crois que le cinéma étranger mérite d’être plus connu.

Pascale marquis

lundi 21 avril 2014

Marika Poulin Les intouchables

Les Intouchables

Ce film sorti en le 13 avril 2012. Comme le dit bien le titre, ce film vous touchera par cette merveilleuse histoire. Repris d’une histoire vécu, ce film met en vedette François Cluzet et Omar Sy. C’est un film à ne pas manquer moi j’étais très perplexe à l’idée d’écouter un film de genre français, mais à ma grande surprise j’ai grandement apprécié ce film. On le décrit comme étant d’un genre comédie dramatique, malgré son côté humoristique. Le réalisateur Éric Toledano a su comment mélanger Humour tout en gardant un côté dramatique, surtout dans le cas du personnage principal Phillip. 

Il a été facile de s’attacher au personnage avec leur jeu d’acteur remarquable. Driss (incarné par Omar), est un jeune noir qui vie du jour au jour dans la folie de la drogue et la boisson, finit par trouver un juste milieu en acceptant un nouveau job auprès d’un quadraplégique. Phillip (le quadraplégique interprété par François) est quelqu’un de très «sophistiquer» aimant de la musique classique, l’art sous tous ces formes et a des gouts très couteux, dans son fauteuil il a cherché aventure en engagent Driss comme seconde main.  Driss agis surtout avec lui comme quelqu’un de normal et ne le prend pas par pitié. De plus, tout au long de l’histoire l’un apprend de l’autre, alors chaque personne évolue psychologiquement grâce à l’autre.
 La bande sonore était représentative du film, car souvent on entendait le genre de musique que chaque personnage avait l’habitude d’écouter, comme par exemple Phillip écoutait de la musique classique et Driss un genre plus funky. Les décors étaient principalement à paris dans la ville sous toute sa splendeur. On voyait les nombreux paysage se déroulée saison après saison. Les lieux de tournage aurai peu se limiter à la maison et aux alentour, mais non on fait voyager les personnages plusieurs fois tout au long de l’histoire.

J’ai bien aimé cette histoire et qu’elle soir reprise d’une histoire vraie. De plus, je vous invite grandement à regarder ce film émouvant tout en ayant du plaisir à la regardé! 


mardi 15 avril 2014

#Naomie Critique résumé



                         Cité de Dieu, Pouilleux millionnaire & Les intouchables. 

                                                  Par Naomie Perreault. 







Le cinéma étranger est énormément différemment du cinéma américain. Le budget, les décors, les personnages, l’histoire est différente des autres. Dans ces trois films que vous nous avez fait regarder, il y avait tous des choses particulières dans chacun. Quelques trucs qu’on ne retrouve pas dans le cinéma américain. Le cinéma américain est énormément redondant, toujours les acteurs identiques que nous connaissons déjà ou les histoires identiques. Histoire d’amour, drame, humour tout cela s’est des éléments différents mais des scénarios pareils. Tandis que le cinéma étranger est tout simplement structuré d’une autre manière, puisque  le réalisateur n’est pas d’ici, ne connais pas spécifiquement ce que les réalisateurs américains ont fait ou font. Alors, ils font leur histoire en dépendant de ce qu’ils voient autour d’eux. La vraie vie qui se cache dans les plus petits recoins de la terre.  Les réalisateurs de cinéma étranger essayent, entre autre, de mettre une nouvelle touche de quelque chose dans les films. Ils nous montrent la vraie vie, les personnes qui y vivent, les maisons, la banlieue, sans être nécessairement à Los angles ou dans des villes que nous connaissons sur le bout des doigts. C’est différents des maisons riches qui s’y cachent dans les films les plus populaires, un film avec moins de budget, peut être cent fois meilleurs qu’un film qui est tourné à Hollywood avec tous les acteurs les plus réputés. Dès maintenant, je préfère les films étrangers, car non seulement c’est différents mais cela nous instruit et nous montre ce que nous ne sommes pas capable de voir. Le cinéma étranger se distingue énormément par sa langue, le type de caméra, les personnages etc. Tous les films se distingue eux –aussi, mais pas autant que les films étranger. C’est une nouvelle perspective des choses  que nous voyons.