Des Islamistes en contrôle d’écoles publiques en Grande- Bretagne?
Par Anthony Gosselin-Trucotte
et
Vincent Boisvert
Le gouvernement britannique a envoyé des inspecteurs enquêté dans quinze écoles de Birmingham, dans le centre de l'Angleterre,
soupçonnées de passer sous le contrôle de musulmans radicaux. Les soupçons sont nés d'une lettre anonyme reçue il y a quelques mois par la mairie
de Birmingham, disant que des islamistes s'employaient à
changer les directeurs de quatre écoles publiques pour imposer
leurs croyances. Des accusations anonymes sont aussi apparues sur l'existence
d'une séparation entre les filles et les garçons en classe
et le harcèlement moral dont serait victime
le personnel non-musulman. La mairesse de la
ville, dont la population est composée de 22% de musulmans, a aussi
décidé d’enquêter sur ces accusations et de ne plus engager temporairement de
directeurs d'écoles.
La situation a fait réagir le ministre
britannique de l'éducation, Michael Gove, à ordonner les inspections
de 15 écoles de la ville. Le ministre est déterminé à trouver et à donner des
sanctions aux écoles où le conservatisme religieux fait obstacle à
l'apprentissage et à une scolarité équilibrée et à remplacer les dirigeants des
écoles qui seraient trouvées. Ce
mois-ci, dix députés de Birmingham ont exprimé leur inquiétude à propos de ces
soupçons, dans une lettre au ministre de l'Éducation. David Hughes, l'un des
administrateurs de plusieurs des écoles mises en cause, a nié les accusations.
Il a dit cette semaine sur la chaine de nouvelles BBC qu’en 15 ans de services à
l’école Park View School, il n'avait jamais été confronté à la moindre plainte
pour extrémisme.
Mon opinion : Ça me choque de voir que des gens qui viennent d’un
autre pays pour être libres et changer leurs vie viennent dans un autre pays et
essaient d’y imposer leurs règles et en plus, des règles qui ressemblent à
celles qu’ils avaient dans leurs anciens pays. Ces gens-là devraient adopter la
même culture que les gens qui vivent dans la société à laquelle ils vivent,
donc dans ce cas-ci, la société Britannique.
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