La Cité de Dieu
La Cité de Dieu est un film
dramatique de nationalité brésilienne sortie le 12 mars 2003. Fernando
Meirelles et Katia Lund sont les réalisateurs. La durée du film est d’environ
135 minutes.
Le personnage principal se nomme Fusée. C’est un jeune garçon de 11 ans
qui vit dans les favelas de Rio de Janeiro. Dans le film, il est aussi le
narrateur de l’histoire. Si on le compare aux autres personnages, Fusée est un
ange. Il se tient loin des gangs et de tout ce qui est activité criminelle. Il
rêve de devenir photographe et tout au long du film, on le voit essayer de
parvenir à son but. Fusée est probablement le personnage le plus saint d’esprit
dans le film, même s’il consomme du cannabis, il a ses limites et il ne cherche
aucunement à devenir un voyou comme les autres jeunes de son entourage. L’autre
garçon de 11 ans se nomme petit Dé. Il est complètement le contraire de Fusée.
Petit Dé lui, rêve de devenir le plus grand criminel de Rio et pour se faire il
suit l’influence de Tignasse et de son gang. Tignasse, Canard et Ficelle
forment le gang. Ils volent tout sur leur passage pour se faire de l’argent.
Plus l’histoire avance, plus de personnages disparaissent tandis que d’autre
font leur apparition dans la cité. Comme Manu Tombeur. Dans le film, ce qui est
intéressant, c’est que le narrateur s’arrête sur chaque nouveau personnage pour
raconter son histoire afin de se situer dans le temps et de comprendre des
faits. C’est un concept que j’ai vraiment apprécié et qui rendait l’histoire
plus compréhensible. Manu Tombeur est probablement le 2e personnage
après Fusée qui est le plus ‘’réglo’’ dans le film. Il est contre la violence
et contre l’ascension des gangs. Mais un jour alors que petit Dé qui est devenu
le plus grand criminel de la cité, tue son fils, il se range au côté du gang
opposé de petit Dé.
Le film est
filmé sur plusieurs angles différents. On peut facilement voir que ce n’est pas
comme les films communs de Walt Disney que l’on voit mais ca fait changement et
c’était très intéressant quand même.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire