jeudi 10 avril 2014

Critique cinmatographique, les intouchables

Les intouchables
Julian Landry



Ce film, du nom original de : « les intouchables » est une réalisation d’Olivier Nakache et Éric Toledano. Un film français qui est classé comme comédie dramatique est une histoire s’inspirant de fais réels. D’une durée de 113 minutes et sortie en 2011, nous avons la chance de partir dans un autre monde qu’est la vie d’un homme qui est paralysé de ses quatre membres.




Philippe, l’homme handicapé est pris en charge par Driss, l’homme d’une ethnie différente. Cependant, cet homme plait bien à Philippe, malgré les grands défauts de celui-ci. Nous voyons tout au cours de cette histoire, la vie d’un homme pauvre vivant la banlieue qui s’occupe d’un homme handicapé. Des liens entre ces deux hommes se créent et nous voyons ensuite leur histoire touchante se dérouler à l’écran. Nous pouvons dire que les rôles de chacun des personnages à bien été interprété. Que l’acteur faisant le rôle de Driss est excellent. Il utilise un sarcasme et de l’ironie tout le long du long métrage qui permet de rendre le film plus léger. Le film se suit bien et l’histoire a du sens. C’est un film ressent dans le quel on peut réellement bien situer l’histoire dans le temps. Nous pouvons voir facilement la différence d’éducation dans le jeu des acteurs, ce qui est selon moi, un détail qui vient mettre une touche supplémentaire de brio à l’œuvre. L’humour est bonne et drôle, parfois vulgaire mais toujours bien justifiée.


C’est définitivement une histoire et un film que je conseil a tous. Elle est touchante dans sa totalité étant donné que nous parlons d’une histoire basée sur des faits réels. Je crois que c’est une œuvre qui a été réalisé avec brio et que tout le monde devrait prendre le temps d’écouter cette histoire. Elle est drôle et intrigante, et je crois qu’elle aide a mieux apprécier ce que l’on a dans la vie, c’est justement une des raisons que je vous conseille de l’écouter. Elle a une bonne morale et elle permettra peut être a d’autre que moi de grandir face a cela.          

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