mardi 15 avril 2014

#Naomie Critique résumé



                         Cité de Dieu, Pouilleux millionnaire & Les intouchables. 

                                                  Par Naomie Perreault. 







Le cinéma étranger est énormément différemment du cinéma américain. Le budget, les décors, les personnages, l’histoire est différente des autres. Dans ces trois films que vous nous avez fait regarder, il y avait tous des choses particulières dans chacun. Quelques trucs qu’on ne retrouve pas dans le cinéma américain. Le cinéma américain est énormément redondant, toujours les acteurs identiques que nous connaissons déjà ou les histoires identiques. Histoire d’amour, drame, humour tout cela s’est des éléments différents mais des scénarios pareils. Tandis que le cinéma étranger est tout simplement structuré d’une autre manière, puisque  le réalisateur n’est pas d’ici, ne connais pas spécifiquement ce que les réalisateurs américains ont fait ou font. Alors, ils font leur histoire en dépendant de ce qu’ils voient autour d’eux. La vraie vie qui se cache dans les plus petits recoins de la terre.  Les réalisateurs de cinéma étranger essayent, entre autre, de mettre une nouvelle touche de quelque chose dans les films. Ils nous montrent la vraie vie, les personnes qui y vivent, les maisons, la banlieue, sans être nécessairement à Los angles ou dans des villes que nous connaissons sur le bout des doigts. C’est différents des maisons riches qui s’y cachent dans les films les plus populaires, un film avec moins de budget, peut être cent fois meilleurs qu’un film qui est tourné à Hollywood avec tous les acteurs les plus réputés. Dès maintenant, je préfère les films étrangers, car non seulement c’est différents mais cela nous instruit et nous montre ce que nous ne sommes pas capable de voir. Le cinéma étranger se distingue énormément par sa langue, le type de caméra, les personnages etc. Tous les films se distingue eux –aussi, mais pas autant que les films étranger. C’est une nouvelle perspective des choses  que nous voyons.

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