lundi 31 mars 2014

Crtique Pouilleux millionnaire


                                                             Pouilleux millionnaire



Un film si merveilleux, palpitant et sentimental nous amène dans un pays si éloigné. Danny Boyle, le réalisateur du pouilleux millionnaire, nous présente un film sensationnel qui comporte tout sur la vie de jeunes indiens orphelins, dans ses 120 minutes de film. Après de longues années, ce film reste l’un des meilleures que j’ai écoutées. J’avais déjà écouté ce film durant son année de sortie en 2008, je l’avais trouvé sensationnel ! Le réalisateur nous entraine dans un monde de pauvreté, et nous enseigne de même les pays pauvres qui peuvent s’y trouver. Autant ce film peut nous déchirer le cœur, qu’il peut nous rendre heureux à la fin! Ce film relève des scènes si déchirantes, et de frustration envers plusieurs personnages. Ce qui clairement plut dans la réalisation du film, c’est qu’il n’a pas été réalisé comme tous les autres films. Plusieurs réalisateurs ont leurs types de réalisations, mais je n’avais jamais vu un film que les personnages principaux racontent son histoire à l’intérieur des questions posées à une émission télévisée. Les personnages étaient si bien joués qu’on pouvait éprouver de la colère et frustration envers Salim. Du tout début, du haut de ses trois pommes, Salim me semblait un petit garçon jaloux et mesquin, mais surtout hypocrite. Dès qu’il a enfermé son frère dans la toilette, si on peut dire une toilette… il m’a immédiatement donné l’envie de l’enfermer lui et plus encore ! Et Jamal, un si gentil petit bonhomme fidèle et aimable qui voulait aider qui conque, et qui commençait à avoir un petit béguin pour la belle Latika. Dès ses premières minutes de jeu, il dégageait une bonne allure tandis que Salim était un bien grand monstre. J’ai aimé la petite aventure amoureuse de Salim et Latika, peut importe s’ils étaient séparés par des kilomètres, ils savaient l’un que l’autre qu’ils allaient se retrouver. Le réalisateur a fait un mélange de plusieurs genres comme; drame, suspense, amour. Tous ses genres étaient très bien présentés dans des contenus parfaits. À l’intérieur de ce film, il y avait énormément de pauvreté…plusieurs réalisateurs captent plus l’attention en dévoilant la pauvreté qui peut s’y cacher ailleurs, et c’est cela qui est meilleures et vendeurs pour eux ! Personnellement, j’aime mieux les films qui montrent ce que nous ne voyons pas chaque jour comme la pauvreté, la maltraitance envers les enfants dans des orphelinats. Comme dans le film, à l’orphelinat quand ils prennent des enfants pour qu’ils chantent les meilleures possible pour afin leurs couper ou enlever un œil, pour qu’ils paressent le plus pauvre possible. Tous sa nous est caché, mais nous savons qu’il en existe. Il nous ont montré ce que c’était des enfants pauvres qui vivaient dans des bidonvilles, des enfants qui essaient de ne vivre à travers aucun sou, à 6 ans il faut qu’ils volent pour afin obtenir de la nourriture. Comme quand, ils ont commencé à faire assemblant qu’ils travaillaient au musée. Le réalisateur nous montre la vraie vie à travers les questions, enfin quelque chose de différent.

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