Pouilleux millionnaire
Un film si
merveilleux, palpitant et sentimental nous amène dans un pays si éloigné. Danny
Boyle, le réalisateur du pouilleux millionnaire, nous présente un film
sensationnel qui comporte tout sur la vie de jeunes indiens orphelins, dans ses
120 minutes de film. Après de longues années, ce film reste l’un des meilleures
que j’ai écoutées. J’avais déjà écouté ce film durant son année de sortie en
2008, je l’avais trouvé sensationnel ! Le réalisateur nous entraine dans un
monde de pauvreté, et nous enseigne de même les pays pauvres qui peuvent s’y
trouver. Autant ce film peut nous déchirer le cœur, qu’il peut nous rendre
heureux à la fin! Ce film relève des scènes si déchirantes, et de frustration
envers plusieurs personnages. Ce qui clairement plut dans la réalisation du
film, c’est qu’il n’a pas été réalisé comme tous les autres films. Plusieurs
réalisateurs ont leurs types de réalisations, mais je n’avais jamais vu un film
que les personnages principaux racontent son histoire à l’intérieur des
questions posées à une émission télévisée. Les personnages étaient si bien
joués qu’on pouvait éprouver de la colère et frustration envers Salim. Du tout
début, du haut de ses trois pommes, Salim me semblait un petit garçon jaloux et
mesquin, mais surtout hypocrite. Dès qu’il a enfermé son frère dans la
toilette, si on peut dire une toilette… il m’a immédiatement donné l’envie de
l’enfermer lui et plus encore ! Et Jamal, un si gentil petit bonhomme fidèle et
aimable qui voulait aider qui conque, et qui commençait à avoir un petit béguin
pour la belle Latika. Dès ses premières minutes de jeu, il dégageait une bonne
allure tandis que Salim était un bien grand monstre. J’ai aimé la petite
aventure amoureuse de Salim et Latika, peut importe s’ils étaient séparés par
des kilomètres, ils savaient l’un que l’autre qu’ils allaient se retrouver. Le
réalisateur a fait un mélange de plusieurs genres comme; drame, suspense,
amour. Tous ses genres étaient très bien présentés dans des contenus parfaits.
À l’intérieur de ce film, il y avait énormément de pauvreté…plusieurs
réalisateurs captent plus l’attention en dévoilant la pauvreté qui peut s’y
cacher ailleurs, et c’est cela qui est meilleures et vendeurs pour eux !
Personnellement, j’aime mieux les films qui montrent ce que nous ne voyons pas
chaque jour comme la pauvreté, la maltraitance envers les enfants dans des
orphelinats. Comme dans le film, à l’orphelinat quand ils prennent des enfants
pour qu’ils chantent les meilleures possible pour afin leurs couper ou enlever
un œil, pour qu’ils paressent le plus pauvre possible. Tous sa nous est caché,
mais nous savons qu’il en existe. Il nous ont montré ce que c’était des enfants
pauvres qui vivaient dans des bidonvilles, des enfants qui essaient de ne vivre
à travers aucun sou, à 6 ans il faut qu’ils volent pour afin obtenir de la
nourriture. Comme quand, ils ont commencé à faire assemblant qu’ils
travaillaient au musée. Le réalisateur nous montre la vraie vie à travers les
questions, enfin quelque chose de différent.
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